Research published by Gatestone Institute concludes various municipalities use money to endorse anti-Semitic groups such as Group 194, arrange school lectures by pro-Palestinian movements.
Sweden’s municipalities and government are directly and indirectly funding anti-Semitic organizations, according to a research conducted by Gatestone Institute for International Relations.
The research was published by Nima Gholam Ali Pour, a member of the board of education in the Swedish city of Malmö, as well as a participant of several Swedish Middle East teams.
In addition, he is the editor for the social conservative website “Situation Malmö,” and has published books.
The research report also concluded that Malmö’s municipality is using tax payers’ money to endorse Group 194—an organization that posts anti-Semitic content on its Facebook page, such as a caricature of a Jew drinking blood and feeding on a child.
The research argued that anti-Semitism originating in the Middle East is also funded by Swedish public money.
Therefore, when anti-Semitic scandals occur in the Scandinavian country, those tasked with addressing them are often the same officials responsible for distributing the offensive material that led to them.
Moreover, no effective action is currently being taken against the spread of anti-Semitism in Sweden.
Ali Pour concluded that the direct and indirect governmental funding of anti-Semitic organization should be scrutinized and immediately halted.
He adds that as long as the funding continues, Sweden’s Jews will continue living in a perpetual state of fear and insecurity.
Big Swedish cities such as Malmö have become known as places in which Jews feel threatened, and the country’s increasingly prevalent anti-Semitism has drawn international attention.
In December of 2017, Muslims demonstrated in front of a synagogue in Malmö and a Molotov cocktail was thrown at a prayer room in a Jewish cemetery following US President Donald Trump’s recognition of Jerusalem as Israel’s capital.
“We want our freedom back and we’ll shoot the Jews,” the anti-Semitic demonstrators shouted in front of the synagogue.
Molotov cocktails were also hurled at a synagogue in the Swedish city of Gothenburg.
Furthermore, representatives of the Youth Against Settlements (YAS) organization based in Hebron are visiting and lecturing in Swedish high schools against Hebron’s Jewish residents.
One of the high school students who attended YAS’s lectures in February 2018 said that the anti-Semitic organization had argued that there are checkpoints all across Israel and that Arabs are routinely beaten and killed.
It was also said the Palestinians are living in concentration camps similar to those set up by the Nazis in in WWII.
“They talked a lot of nonsense and made us to take pictures with their flag,” one of the high school student said.
“The most controversial thing they said was that the Jews control the United States and the media,” another student added.
Zelika El Motsev and Anas Amro, YAS’s representatives across Sweden, were described in the media as “peace activists,” while they praised stabbing attacks, Shahids (martyrs) and Arab uprising on their Facebook pages.
Yes’s spokespersons were invited to speak before public institutions in Sweden and country’s Foreign Affairs Minister Margot Wallstrom met with them during her visit to Ramallah in December 2016.
Face aux diverses formes d’antisémitisme observées dans les sociétés européennes, les pays de l’Union sont loin de présenter un front uni : l’ex-Europe de l’Est reste marquée par les préjugés traditionnels contre les juifs ; les citoyens des pays de l’Europe de l’Ouest se montrent eux plus enclins à pointer du doigt la politique d’Israël envers les Palestiniens. C’est ce qui ressort, entre autres, d’un sondage commandé par l’Action and Protection League (APL), organisation partenaire de l’Association juive européenne (EJA), dont les responsables se réunissent mardi 12 et mercredi 13 octobre à Bruxelles pour une rencontre avec des parlementaires, des diplomates et des responsables d’institutions européennes.
Dans le détail, cette enquête de l’Ipsos, menée depuis deux ans dans seize pays de l’Union européenne (UE), confirme la persistance de nombre de stéréotypes sur les communautés juives d’Europe, qui représentent, selon les estimations, 1,5 million de personnes. Le président israélien, Isaac Herzog, s’adressant à distance depuis Jérusalem, devait dénoncer, mardi, « le fléau de l’antisémitisme qui continue de se répandre dans les rues et en ligne ». Globalement, les auteurs de l’étude estiment que 12 % des Européens sont « fortement » antisémites et 8 % « modérément ».
Grèce et Roumanie affichent leurs vues antisémites
Ainsi, 21 % des Européens interrogés sont « d’accord » (7 %) ou « plutôt d’accord » (14 %) avec l’idée que des réseaux secrets tenus par les juifs influenceraient la vie économique et politique du monde. Les Grecs (58 %) et les Hongrois (39 %) en sont même particulièrement convaincus.
A travers l’Europe, la Grèce et la Roumanie sont les deux pays qui affichent le plus massivement leurs vues antisémites, quelles que soient les formes envisagées : un rejet fondé sur la religion, alimenté par la politique, marqué par le complotisme ou nourri de négationnisme… Et plus d’un tiers des Grecs et des Polonais jugent que les juifs ne peuvent pas s’intégrer dans leur société, contre 17 % au niveau européen. L’idée qu’il faut « se méfier des juifs » est encore fortement ou plutôt partagée par 48 % des Grecs, 41 % des Polonais et 39 % des Hongrois. A l’inverse, seuls 4 % des Néerlandais et 2 % des Suédois souscrivent à cette affirmation. Sur le plan religieux, 39 % des Grecs et 30 % des Roumains jugent toujours les juifs responsables de la mort de Jésus, entretenant la notion de « peuple déicide ».
Selon le sondage, les vues révisionnistes sont présentes à l’est de l’Europe… et en France : 24 % des Roumais, 23 % des Grecs, 21 % des Hongrois, ainsi que 20 % des Polonais et des Français sont d’accord ou plutôt d’accord avec l’affirmation selon laquelle le nombre de victimes juives de la Shoah est inférieur aux chiffres communément admis. Une proportion qui tombe à 11 % en moyenne dans les seize pays. Sur le devoir de mémoire, ce sont, cette fois, les Autrichiens et les Allemands qui se singularisent : 43 % des premiers et 28 % des seconds (contre 19 % en moyenne) estiment que, quatre-vingts ans après les faits, il faudrait moins parler de la Shoah. En France, en Suède ou aux Pays-Bas environ huit personnes sur dix estiment, en revanche, qu’il est important de garder la mémoire des persécutions.
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