Des centaines de dirigeants visiteront l’ancien camp de concentration de Theresienstadt

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January 24, 2023
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“Ce qui s’est passé à Terezin est le meilleur exemple des conséquences que peuvent entraîner les fake news”

120 dirigeants, parlementaires et diplomates de toute l’Europe se sont réunis à Prague pour visiter l’ancien camp de concentration de Theresienstadt, où ils allumeront des bougies à la mémoire des 80 000 victimes juives, à l’occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de la Shoah qui aura lieu vendredi.

L’Union des organisations juives d’Europe, qui organise l’événement, a lancé l’opération d’allumage des bougies pour la Journée internationale de la Shoah, qui sera distribuée à tous les parlements d’Europe.

Le président de l’Union des organisations juives d’Europe, le rabbin Menachem Margolin, a déclaré à l’ouverture de la conférence que ce qui s’est passé à Terezin est le meilleur exemple des conséquences que peuvent entraîner les fake news. Les nazis ont utilisé le camp comme une “vitrine” pour conjurer les critiques internationales sur les mauvais traitements qu’ils infligeaient aux Juifs dans les ghettos et ont présenté des gens apparemment heureux, y compris des enfants qui mangent à leur guise et mènent diverses activités culturelles – alors que la plupart d’entre eux étaient plus tard transféré dans les camps d’extermination.

“Terezin est un camp où les nazis ont tenté de montrer par la manipulation de films et de photographies un ‘ghetto modèle'”, a-t-il déclaré.  “Aujourd’hui, dans le contexte de l’épidémie de Covid-19, de la guerre en Ukraine et de la diffamation d’Israël, les antisémites utilisent exactement les mêmes méthodes. Le Juif est le bouc émissaire. La polarisation en politique contribue à répandre l’antisémitisme. La législation contre l’abattage rituel en Europe s’inscrit dans cette ambiance. De moins en moins de Juifs en Europe se permettent de montrer leur judéité sans crainte. Si les Juifs quittent l’Europe, ce sera un très mauvais signal de l’état du continent”, a-t-il expliqué.

Margolin a appelé à une coopération entre les parlements, les gouvernements européens et les communautés juives pour lutter contre l’antisémitisme.

46% des incidents antisémites en 2022 ont eu lieu en Europe et 39 % en Amérique du Nord. La propagande occupe 39% des actes antisémites, le vandalisme 28%, les violences physiques 14%, les violences verbales 11% et la délégitimation 7%, a indiqué le nouveau rapport de l’Organisation sioniste mondiale pour l’antisémitisme.

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LA FRANCE EST LE PAYS EUROPÉEN DONT LA COMMUNAUTÉ JUIVE SE SENT LE MOINS EN SÉCURITÉ, SELON UNE ÉTUDE PORTANT SUR 12 ETATS EUROPÉENS

a France est le pays dont la communauté juive se sent le moins en sécurité, en dépit des actions menées par l’Etat, selon une étude portant sur 12 pays européens publiée ce mardi dans le cadre d’une rencontre organisée par l’Association juive européenne (EJA).

Les chiffres font froid dans le dos. D’après une étude sur la «qualité de vie juive» portant sur 12 pays européens, réalisée par l’Institute for Jewish Policy Research de Londres et par la European Union Agency for Fondamental Rights, auprès de 16.000 Juifs européens en 2018, la France est le pays dont la communauté juive se sent le moins en sécurité.

QUATRE CRITÈRES CROISÉS

Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont croisé quatre ensembles de données : le sentiment de sécurité ressenti par la communauté juive, l’attitude de la population vis-à-vis des juifs et Israël, l’antisémitisme et enfin la «performance du gouvernement» (statistiques sur les incidents antisémites, lieux de mémoire de l’Holocauste, budget destiné à la sécurité des sites juifs, liberté de culte et préservation des pratiques juives telles que la circoncision et l’abattage rituel, etc…).

Les résultats sont probants. Il en ressort que la France, qui comprend la plus forte communauté juive d’Europe avec un peu moins de 500.000 Juifs, arrive à la 10e position (68/100) de cet index qui concerne également l’Italie (1ère place avec 79/100), la Hongrie (2e), la Pologne (11e), la Belgique (12e place avec 60/100), mais aussi l’Allemagne, l’Espagne, le Danemark, le Royaume-Uni, la Suède, les Pays-Bas.

DES ATTAQUES ET ATTENTATS ANTISÉMITES

«L’une des conclusions, surprenante, est que le gouvernement de la France a une bonne performance» par les actions menées par l’Etat (score de 83/100), «mais en dépit de cela, la communauté juive exprime un fort sentiment d’inquiétude» pour sa sécurité (31/100), ce qui place la France en dernière position sur ce point, a déclaré à l’AFP Daniel Staetsky, auteur de cet index et statisticien à l’Institute for Jewish Policy Research.

Comme possibles explications, il a cité les «attaques terroristes antisémites» comme la tuerie de l’école juive Otzar Hatorah à Toulouse en 2012 ou l’attaque contre l’Hypercacher dans l’Est parisien en janvier 2015.

LE DANEMARK PREMIER DE LA CLASSE

Autre enseignement : c’est au Danemark que la population juive se sent le plus en sécurité. La Hongrie arrive au premier rang concernant l’antisémitisme. Et la Belgique est dernière pour les actions menées par le pays en faveur de sa communauté juive.

Selon l’EJA, la rencontre, qui se tient à Budapest (Hongrie) depuis lundi et se termine mardi, réunit quelque 250 personnes, dont 120 représentants et dirigeants des communautés juives d’Europe.

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Semanario Hebreo JAI

Cuestionar el derecho a existir de Israel es una línea roja

La EuropeanJewishAssociation, EJA por sus siglas en inglés, ha iniciado su conferencia anual en la ciudad de Oporto, en Portugal, coincidiendo con los 75 años desde la independencia de Israel y el centenario de la comunidad judía en la ciudad portuguesa que comienza a dar pasos cada vez más grandes en el presente. En un encuentro que ha reunido a líderes, representantes y periodistas de las comunidades judías (aunque también con excepciones) se ha promovido una sentencia al antisemitismo que crece en Europa y amenaza con expandirse hacia el resto del mundo. 

La votación y ratificación de los líderes judíos para llevar la discusión del antisemitismo a Bruselas fue el cierre de una jordana que deja una sensación y una valentía para ir por nuevos desafíos.

Mientras los cohetes de la Yihad Islámica desde la Franja de Gaza cruzaban a territorio israelí y los atentados terroristas se incrementaban desde el norte hasta el sur, alrededor del mundo se lograba detectar más de 50 ataques antisemitas por día. Sobre esta cifra, entre otras cosas, puede concluirse que en la realidad estos ataques son muchos más que los que se denuncian.

Al mismo tiempo en España, un país democrático y que abraza el estado de derecho, la comunidad judía de Barcelona era atacada en su sinagoga Maimónides. Pocos meses antes, la alcaldesa de la ciudad catalana, Ada Colau, promovía la ruptura de los lazos de hermanamiento con Tel Aviv y lo presentaba como una deuda pendiente en su activismo político. En año 2023, la alcaldesa de Barcelona hizo política con el antisemitismo. La situación es todavía peor en países como Holanda, donde los representantes de la comunidad señalan el temor y rechazo de los judíos a vivir allí, en Bélgica, la capital de la Unión Europa o en Alemania. 

La desinformación y la falta de rigurosidad periodística a la hora de cubrir el conflicto en Oriente Medio queda siempre en evidencia ante cada escalada entre Israel y grupos terroristas de los territorios bajo control palestino. Esta distorsión ocurre en América Latina como también en Europa, en donde los títulos de muchos medios de comunicación equiparan la defensa de un país soberano y la conformación de una agrupación denominada, ni más ni menos, como yihad.

Aunque sea hasta absurdo aclararlo, jamás puede inferirse que en Oriente Medio hay un enfrentamiento simétrico, sino una utilización del terrorismo escudado en hombres, mujeres y niños civiles a quienes utilizan de escudos humanos cuando los operativos de las FDI desbaratan células yihadistas en la Franja de Gaza o en Judea y Samaria.

El punto central de la conferencia en Oporto tiene que ver con el antisemitismo frente al exponencial crecimiento de los ataques, hostigamiento y persecución ya no sólo contra los judíos, sino también contra los no judíos que defienden a Israel o que simplemente no abogan en equiparar a un país con el terrorismo. La desinformación en la política del Medio Oriente lleva a un regadero de violencia y guerra discursiva en las principales redes sociales. 

Hay un reclamo persistente de los líderes de las comunidades judías europeas para controlar y ser proactivo en la denuncia del contenido antisemita que se revista de teorías conspirativas y una espiral del racismo. La preparación y el activismo que promueven los grupos de líderes jóvenes es para destacar: es importante llevar más y mejor información a las universidades que son las casas de estudio en donde se están formando académicamente los dirigentes de un futuro no tan lejano.

En este sentido, una de las patas jóvenes de la organización, Juan Caldes Rodríguez, presenta su plan desde Bruselas que debería ser considerado también para auxiliar a las comunidades judías en América Latina que están emprendiendo una batalla muy desigual contra el antisemitismo en países donde los grupos proiraníes y el islamismo toma cada vez más fuerza alimentándose de la baja calidad institucional, judicial y democrática. La lucha contra el antisemitismo debe ser parte de la agenda política iberoamericana, impulsando y formando a quienes decidan pelear por la verdad.

Dos días junto a la EJA en Oporto permiten a un no judío, como es mi caso, conocer parte de la realidad que las comunidades viven. Resulta increíble escuchar en el año 2023 que hay una comunidad que busca ser excluida y es constantemente amenazadaante de los ojos de una opinión pública internacional que no sabe, no puede o no quiere enfrentar al enemigo en común. El silencio aturde y la comunidad judía comienza a alertar y a moverse para que el pasado no se repita.

 

https://www.semanariohebreojai.com//articulo/6804

President Rivlin hosted Abdallah Chatila, who purchased Hitler artifacts which will be held by Yad Vashem, at Beit HaNasi

President Reuven Ruvi Rivlin hosted Abdallah Chatila, who purchased Hitler artifacts which will be held by Yad Vashem, at Beit HaNasi
President Reuven (Ruvi) Rivlin today hosted Abdallah Chatila, the Lebanese-born Swiss businessman who bought artifacts associated with Adolf Hitler that auctioned two weeks ago, which will be held by Yad Vashem. World Chairman of Keren Hayesod Sam Grundwerg and Chairman of Yad Vashem Avner Shalev also participated in the event.
The president thanked Mr Chatila for his important act and for the significant thought that stood behind it, saying “your donation is of great importance at this time, when people are trying to deny historical truth. These artifacts, which you are generously making available to Yad Vashem, will help convey the legacy of the Holocaust to the next generation who will not meet survivors.”
The president added, “what you did was seemingly so simple, but this act of grace shows the whole world how to fight the glorification of hatred and incitement against other people. It was a truly human act. I know you have been thanked many times, but it was important for me to say it loud and clear here at Beit HaNasi in Jerusalem – we appreciate it and thank you for it very much.”
Abdallah Chatila told the president “Mr President, it is a great honor to be here. When I read about the artifacts being for sale, I immediately thought I have to buy them and destroy them. Then I thought I have no right to decide what to do with the items, and am so glad they are now at Yad Vashem. I feel a shiver when I understand how important this is for the Jewish people, but I think there is a wider message for the whole world, that ‘never again’ is not a meaningless slogan. Through acts such as this, we can ensure that these things never happen again.”
EJA chairman, Rabbi Menachem Margolin said during the meeting that “In a cynical world, such a noble act of kindness, generosity and solidarity bowled him over”. “it is the first time in years” He continued ” that someone is properly hearing our pain and is taking action because of it.”
“Rabbi Margolin thanked Keren Hayesod for taking the action of Mr. Chatila and making sure this noble thing will become an educational message for the generations to come and documented in and kept by Yad VaShem in Jerusalem.
Chair of Yad Vashem Avner Shalev thanked the president for the meeting and Mr Chatila for his act, saying. “What you did as a spontaneous act ensures that these artifacts do not end up in the wrong hands. You stopped that, and brought them to the place where history is told and where the next generation is educated. Thank you very much.”
Sam Grundwerg, World Chairman of Keren Hayesod: “What you have done by this action is take a very dark chapter from Jewish history and the history of humanity, and shed light on it by andvancing tolerance and hope. You reminded humanity that there are good and decent people in the world who seek tolerance and justice”.

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